dimanche 27 novembre 2011

Le mouvement démocratie encore en cours?

Après le printemps Arabe, pour ne pas dire la révolution de gesmin car les autres n'ont pas réellement aboutit, le mouvement démocratique touche désormais certains pays asiatique en premier lieu la Birmanie où la junte militaire commence à donner des signes d'ouvertures.

Pour les pays arabes, après la boucherie de kadhafi, nous assistons actuellement l’extermination d'assad que même les dictateurs arabes ne supportent plus, même si leur réaction prête la suspicion vue que les monarchies (dictatures du golfe arabique) sont majoritaires sunnites et que le régime baasiste  d'assad est du type maronite(chiite). Donc, on peut se poser la question si les monarchies sont contre la dictature du régime assad ou contre le massacre du peuple sunnite. Pour le premier cas çà laisserait rêver d'un automne démocratique pour l'ensemble du peuple arabique de damas à sana en passant par à DJADDA et peut-être un crochet à haramous , mais le rêve a ses limites les dictateurs arabes semblent être aussi tribaliste que les leaders djiboutiens  et leur réaction semble être lié qu'à l'étiquette religieuse des morts de qoom ou damas. 

Si le monde semble encore aveuglé par les flammes du printemps arabe et le réveil tardif du monde arabe, le prochain étape du mouvement démocratique ou le réveil des peuples semble toucher l'Afrique en premier lieu les pays musulmans dont  les dirigeants ont copié les régimes arabes et ont crée de dynastiques. Le premier de ces pays semble être le Sénégal dont wade souhaiterait installer son fils au palais. Le mouvement de contestation semble prendre de l'ampleur chaque jour et il suffit une petite étincelle pour enflammer DAKAR. En matière des capitales dont le feu couve  kinshasa arrive en premier dès ce lundi si Kabila ne plie pas bagage rapidement.

D'autres suivront, si la démocratie s'installe finalement à l'ex-zaire, un géant dont le coma attise l’appétit des charognards de tout genre, mais les capitales occidentaux auront -ils le même discours que celui du printemps arabes car lorsqu'il s'agit des pays africains, l’intérêt économique semble primé au rêve de liberté et de démocratie pour les peuples africains.

Pour Djibouti, le dictateur  semble être en sursis, vue que son bilan semble être sans trace dans tous les sens du terme.  Le bilan du dictateur semble être sans trace même pour ses nouveaux ministres qui après le premier audit confirme que l'ensemble des actions de 10 passés sont au mieux inexistantes et au pire destructrices pour la nation. Certains ont déjà plié bagage après leur constat accablant, d'autres ne tarderont pas de quitter le bateau avant le naufrage final : peut-être les élections municipales ou legislatives. Entre-temps les leaders de l'opposition ont un devoir moral de s'entendre au moins sur la constitution d'une assemblée constituante pour rédiger la constitution du pays.

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